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De Gracieuse, 1894
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Love 🤍
𝙵𝚊𝚜𝚑𝚒𝚘𝚗 𝚙𝚒𝚌𝚝𝚞𝚛𝚎𝚜 𝚏𝚛𝚘𝚖 𝚝𝚑𝚎 𝙳𝚞𝚝𝚌𝚑 𝚖𝚊𝚐𝚊𝚣𝚒𝚗𝚎 𝙳𝚎 𝙶𝚛𝚊𝚌𝚒𝚎𝚞𝚜𝚎, 1899 🇳🇱
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Costumes, 1908.
1830s (right), Cleopatra (centre), Harlequin (left)
#fashion plates#historical fashion#clothing#women's fashion#dress#20th century#century: 1900s#nationality: dutch#era: edwardian#costume#fancy dress#1830s costume#cleopatra#harlequin#publication: de gracieuse#op's favourites#colour illustration
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
youtube
(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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“Vous serez toujours irrésistibles, vous autres femmes : d'abord raisonnables, et l'on ne peut vous contredire, gracieuses, et l'on se rend volontiers, sensibles et l'on ne veut pas vous faire de peine, mystérieuses et l'on s'effraie.”
Johann Wolfgang von Goethe
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
—
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
#Les Modes#20th century#1910s#1914#periodical#fashion#fashion plate#color#illustration#essay#bibliothèque nationale de france#dress#Francis de Miomandre#july color plates
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 11 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
General notes:
Higuchi uses the formal "you" (vous) with Akutagawa. Hirotsu uses the informal "you" (tu) with all of the Black Lizard. Very funny in the context that he calls Higuchi his superior, but still doesn't use the formal "you" for her.
Atsushi tries to use the formal "you" with Kenji before Kenji tells him to use the informal "you". Vouvoyer means to use the formal "vous", and tutoyer means to use the informal "tu". Kenji tells Atsushi "tu peux me tutoyer", so he's telling him "you can be informal with me".
Kenji's ability might be named "Plus fort que la pluie" (Stronger Than The Rain)
Today's quote:
VF: Il n'est pas rare de l'avoir gracieusement trancher la gorge d'un proche. (It's not rare to have him gracefully slit a close one's throat.) Eng: It's not unusual for him to have to slit the throat of one of our own.
#not much happening today!#bsdrewatch2023#bsd french dub adventures#bsd#bungo stray dogs#bungou stray dogs#apparently i talk sometimes
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Evening Dress; De Gracieuse, 1898
#1898#1890s#history#fashion#historical#historical fashion#fashion history#1890s fashion#victorian#victorian era#victorian fashion#1800s#history tag#1890s dress#fashion plate#antique#vintage#vintage fashion#late 1800s#19th century fashion#19th century#1800s fashion#antiquebee
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Pause musicale pour rencontre sentimentale...
Que dans une gracieuse complicité, douceur, amour et tendresse soient au rendez-vous pour chacun(e) d'entre-nous...!
#au-jardin-de-mon-coeur
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Une jeune entrepreneuse et créatrice de mode ! Indépendante et gracieuse en même temps – Rarity !!
#my little pony#my little pony friendship is magic#mlp fim#mlp g4#artwork#art digital#dessin#fanart#illustration#artists on tumblr
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Women's dresses, 1913.
#historical fashion#fashion plates#women's fashion#year: 1913#decade: 1910s#century: 1900s#20th century#nationality: french#publication: De Gracieuse#era: third republic#era: edwardian#era: prewar#era: titanic#day wear#day dress#clothing#dress#gown#green#wrap dress#red#blue#orange#colour illustration
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1908 (21 Sep issue) - De Gracieuse day dress. From early20thcenturynerd.tumblr.com/post/629895036767813632/day-dress-from-de-gracieuse-21st-september-1908 838X1442.
#1908 fashion#1900s fashion#Belle Époque fashion#Edwardian fashion#feathered hat#jacket#long sleeves#pockets#close skirt#boa#walking stick
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j’ai commencé, par la gracieuse autorisation d’ @aramielles , de corriger les saints manuscrits de solivagant et de l’ange et l’homme. so far je suis à trois chapitres de soli here’s how it’s going :
#c’est juste mes commentaires ptdr on en est pas au stade conversationnel sur le doc#la complainte de julot#kaamelott
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Honneur
Je crois que ce qui est le plus à déplorer dans notre société contemporaine, c’est la disparition de l’honneur. Elle était pareille à une mère ; une femme gracieuse et élancée, belle autant que forte, mais également stricte, qui s'assure que sa progéniture puisse survivre et surtout vivre comme il se doit. Lorsque les hommes ont cessé de vouloir mourir pour elle, ils l’ont lentement traquée et mise à mort dans le secret afin ne plus en porter la responsabilité. Ils ont voulu faire taire ses précieux conseils ainsi que ses reproches bien méritées, promettant ainsi les générations futures à la lâcheté : cette nourrice qui n’enseigne rien, mais gave plutôt ses protégés jusqu’à les faire vomir pour les nourrir encore. Elle les maintiens dans un cocon de plaisirs et d’émotions qui doivent sans cesse être écoutées et validées au lieu d’être appréhendées et comprises.
Or, il n’est jamais été question de mourir pour être honorable, cela n’était qu’un mensonge grossier perpétré par des extrémistes. L’honneur, c’était avant tout de respecter ses engagements même lorsque cela devenait difficile ou que l’on en avait plus envie, traiter autrui avec dignité, travailler dur et demeurer humble. Il s’agissait de principes simples auxquels tous avaient avantage à se plier, pourtant, on a voulu s’en départir comme un enfant capricieux pousse ses légumes hors de son assiette.
Aujourd’hui, c’est comme si l’on avait voulu effacer jusqu’à la mémoire même de l’honneur. On ne prononce guère plus son nom, mise à part dans les contes et les romans. On ne l’enseigne plus aux petits et à sa place, on donne des instructions vagues et moins fortes, comme « sois gentil », ou « sois patient ». Il en résulte des individus maladroits et hypocrites qui ne se soucient point de l’impact qu’ils ont chez les autres et croient à tort que tous les écarts de conduite pourront être pardonnés ou oubliés. Rétablir son honneur n’est plus un enjeux, la noblesse de caractère s’est perdue, les rois et les reines sont déchues.
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Un poème pour ceux qui s'en vont. Ne restez pas à pleurer sur ma tombe à et il a été écrit en 1932 dans sa forme originale Do not stand at my grave and weep par Mary Elizabeth Frye. Ne restez pas à pleurer devant ma tombe, je n’y suis pas, je n’y dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent, je suis le scintillement du diamant sur la neige, je suis la lumière du soleil sur le grain mûr, je suis la douce pluie d’automne, je suis le silence du matin, je suis dans la course gracieuse des magnifiques oiseaux qui volent, je suis la douce étoile qui brille la nuit. Je suis dans chaque fleur qui s’épanouit, je suis dans une pièce tranquille, je suis dans chaque oiseau qui chante, je suis dans chaque belle chose. Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant, je n’y suis pas, je ne suis pas morte
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